Le projet expliqué
Le projet éolien de Buffe-vent
La genèse du PROJET
Après de premiers contacts avec les élus en 2019, la société ENERTRAG a commencé à développer un projet éolien dans la commune de Faye-sur-Ardin. Les études d’impact sont actuellement en cours.
ENERTRAG souhaite implanter entre 6 et 8 éoliennes sur le territoire de la commune de Faye-sur-Ardin. Ces éoliennes mesureront 180 mètres (hauteur bout de pale) et leur puissance sera comprise entre 4 et 6 MW.
chiffres clés
- 6 à 8 éoliennes maximum
- Une hauteur maximale de 180m en bout de pale
- 500 à 700 mètres de distance aux habitations
- Puissance unitaire de 4 à 6 MW
lE CALENDRIER DU PROJET
Pour mieux suivre le développement du projet, nous vous proposons de revenir brièvement sur les différentes étapes déjà passées.
Février – Mars 2019 : Premiers contacts avec la commune de Faye-sur-Ardin
2019-2020 : Sécurisation du foncier
Février 2021 : Délibération favorable du conseil municipal pour effectuer les études sur la zone.
Mars 2021 : Lancement de la démarche de concertation et d’information
Septembre 2021 : Lancement de l’étude écologique
Novembre 2021 : Lancement de la campagne de financement participatif et installation du mât de mesure pour l’étude des vents
Janvier 2022 : Lancement de la co-construction du projet, avec l’appui de l’équipe Mazars
Mai 2022 : Lancement des études paysagères
Novembre 2022 : Lancement de l’étude acoustique
La carte de la zone d'implantation potentielle
A la suite des études de pré-faisabilité, l’équipe d’ENERTRAG a identifié de premières zones potentiellement propices au développement d’un projet de parc éolien. Les études en cours permettront de préciser les scénarios d’implantation possibles.
les études de faisabilité
Afin de déterminer la faisabilité d’un projet éolien sur la zone d’étude identifiée, des études de faisabilité sont en cours sur Faye-sur-Ardin.
Celles-ci permettent d’identifier les enjeux et contraintes du territoire et de proposer une trame d’implantation en cohérence avec les potentiels impacts d’un parc éolien sur le territoire.
- L’étude des vents
Réalisée grâce à l’implantation d’un mât de mesure, cette étude permettra de révéler la vitesse de vent moyenne comprise et le sens des vents dominants.
Cette étude est réalisée par le bureau d’études VOERAL depuis novembre 2021.
- L’étude écologique
Il s’agit d’étudier sur un cycle biologique complet, soit un peu plus d’un an, la faune et la flore du territoire afin d’évaluer les enjeux écologiques et d’en tenir compte dans la définition de la trame d’implantation. L’étude des milieux naturels nécessite des compétences naturalistes et scientifiques spécialisées en écologie. C’est pourquoi cette étude lancée en septembre 2021, est menée par le bureau d’études Calidris.
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- L’étude acoustique
L’exploitation d’un parc éolien implique la maîtrise des nuisances sonores au voisinage de celui-ci afin de limiter l’impact environnemental sur la population la plus proche. L’étude d’impact acoustique consiste à étudier les émissions sonores d’un projet de parc éolien et à évaluer son impact sonore provisionnel sur les habitations riveraines les plus proches.
Elle est réalisée selon les étapes suivantes :
- Caractérisation de l’ambiance sonore initiale (mesures sur site)
- Calcul des niveaux sonores prévisionnels (simulation numérique)
- Évaluation du risque d’émergence sonore
- Optimisation du fonctionnement du parc éolien afin de maitriser les émissions sonores
Prévue en novembre 2022, cette étude sera réalisée par ORFEA. Elle sera terminée une fois la trame d’implantation connue afin de déterminer les potentiels impacts et les mesures à prendre en compte.
- L’étude paysagère
L’étude paysagère consiste à étudier, sous différents points de vue et dans un rayon pouvant aller jusqu’à 20 km, la visibilité des éoliennes envisagées. L’objectif est de comprendre quels sont les points paysagers sensibles à préserver et/ou à mettre en valeur afin de ne pas perturber la lecture paysagère. Pour ce faire, le bureau d’études recense les éléments patrimoniaux et touristiques importants. Il les classe ensuite selon leurs enjeux, analyse les structures du paysage, et étudie également les perceptions visuelles et sociales qu’aurait le parc sur les lieux de vie et d’activité alentour.
Une fois la trame d’implantation connue, des photomontages seront réalisés en prenant en compte ces critères, afin de simuler la vue que les habitants auraient si le parc était installé.
Cette étude sera menée par AEPE Gincko et lancée en mai 2022.
